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Confé: Laurent Mazal aussi candidat

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laurent mazal

Laurent Mazal vient de confirmer sur les réseau sociaux qu’il est candidat à la succession de Pascal Montredon à la tête de la Confédération des Buralistes. Ainsi, après Jean Luc Renaud et Philippe Coy, le président de la Chambre Syndicale de l’Allier est le troisième candidat.

D’après les rumeurs qui sont venues jusqu’a moi, l liste des postulants ne devrait plus évoluer.

A l’évidence, les candidats vont s’emparer des réseaux sociaux pour convaincre le buralistes et le collège d’électeurs.

Je vous propose de trouver ci-dessous le courrier publié par Laurent Mazal ce jour:

Chers collègues,

Voici 17 ans qu’avec mon épouse et nos trois enfants, nous sommes buralistes dans l’allier, département rural du centre de la France.
Je participe à la vie syndicale depuis pratiquement le début, d’abord comme administrateur, puis secrétaire et enfin Président départemental en 2012.
Depuis 2003, je participe au congrès national au côté du Président départemental, et ainsi, j’ai pu constater l’importance et le rôle indispensable de la confédération nationale.
2003, une date, où à mon sens tout commence.
La doctrine des anti-tabac ou plutôt anti-buralistes évolue au fil des années, jamais à court d’idées, toujours très violente contre notre réseau.
NOTRE RESEAU, C’EST NOTRE FORCE SYNDICALE.
Les politiques, nous demandent, nous conseillent d’évoluer, de nous diversifier…
Je réponds, à travers nos discussions, que la diversification ne doit pas être synonyme de dispersion.
Il nous faut de la diversification intelligente, 
Nous devons convaincre qu’il faut de la proximité pour obtenir de l’efficacité.
MAITRISON NOTRE AVENIR
Depuis 2013, je suis Président de la fédération Auvergne Forez.
Membre du conseil d’administration de fait, j’ai pu m’imprégner de l’ADN de la confédération, au travers des commissions auxquelles j’ai participé, notamment « la relève » et « affaires sociales ».
Dès 2015, je suis en charge de l’apprentissage et je reste convaincu que le travail accompli est une caisse de résonnance pour notre profession.
Nous devons aller plus loin, nous devons construire ensemble notre métier.
L’accord du 3 juillet 2017, que je viens de signer, accompagné de Didier Reboulet, Jean Paul Mengeon, entre nos trois fédérations et Laurent Wauquiez, Président de la région AUVERGNE RHONE ALPES, est un signe fort que nous venons de faire passer au monde politique.
Il y a quelques semaines, Pascal Montredon nous a informé ne pas briguer un nouveau mandat.
Jean Luc Renaud s’est positionné comme candidat ainsi que Philippe Coy.
Pour moi, il ne fait aucun doute, l’un comme l’autre, a les compétences pour exercer cette fonction.
Pourtant, après mûre réflexion et de multiples échanges avec des collègues de la profession, j’ai décidé de présenter ma candidature à la Présidence de notre confédération.
Riche de ces expériences abouties, visibles et indispensables pour l’avenir de notre réseau, je crois que le moment est venu d’amorcer un virage, de débuter une nouvelle ère du « buralisme ».
La profession a besoin de se retrouver autour de nouvelles idées, de changer son image, d’affirmer sa légitimité, d’être aujourd’hui et plus encore demain, le premier commerce de proximité, incontournable dans la vie de nos concitoyens.
Je construis avec mon équipe un projet en ce sens.
Il sera novateur, ambitieux, et il bousculera un peu les habitudes de fonctionnement de notre organisation.
Je crois, en effet, qu’il est nécessaire de se remettre en question, de changer certaines méthodes de travail. Nous sommes des élus de la profession et, à ce titre, nous avons des comptes à rendre à tous les buralistes. Ils doivent à la fois adhérer à nos projets, mais aussi, se sentir entendus par la Confédération.
Sachez que j’ai bien mesuré l’ampleur de la tâche qui m’attend.
Ceux qui me connaissent, savent que je suis un compétiteur, j’aime les défis, cette candidature en est un grand. 
Je m’engagerai sans retenue, mais avec tous, dans nos combats de demain.
Construisons ensemble notre métier car nos combats d’aujourd’hui nous feront gagner demain.

A très bientôt.

Laurent MAZAL
Président de la chambre syndicale de l’allier

Nul doute que les candidats reviendront vers les buralistes pour développer leurs projets qui passent à priori par des réformes profondes de l’organisation et du fonctionnement de la Confédération.

 

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